Publications produites par l’Observatoire : articles, bulletins, portraits thématiques, et plus encore. Ces publications mettent en lumière les enjeux régionaux à partir de données fiables et accessibles.
― Mariella Collini
En Abitibi-Témiscamingue, 63 675 personnes qui occupaient un emploi devaient quitter leur domicile pour se rendre au travail en mai 2021, selon les données du recensement. Il s’agit d’un nombre légèrement moins élevé que cinq ans plus tôt, ce qui s’explique par les répercussions de la pandémie et des mesures sanitaires sur le marché du travail. Regard sur les habitudes de navettage1 en Abitibi-Témiscamingue.
La Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) a publié récemment son Rapport sur le marché locatif de 2022. Malgré une offre bonifiée d’unités locatives au Québec (2 %), un resserrement du marché locatif est observé avec un taux d’inoccupation de 1,7 % (2,5 % en 2020 et 2021) et une hausse de 5,6 % du coût du loyer, soit la plus importante depuis 1990. Coup d’oeil sur la situation du marché locatif en Abitibi-Témiscamingue.
Il y a quelques semaines, l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) dévoilait ses plus récentes estimations de population pour l’ensemble des régions et des MRC du Québec. Si l’Abitibi-Témiscamingue enregistre quelques centaines de personnes de plus au 1er juillet 2022 qu’à pareille date en 2021, les gains demeurent nettement en deçà de ceux de la majorité des régions du Québec. Coup d’oeil sur le bilan démographique et sur certaines des composantes qui expliquent les récentes tendances.
Le récent profil régional de l’industrie bioalimentaire au Québec1 présente un tour d’horizon de cette industrie dans la région en 2021.
Tous les dix ans, Statistique Canada sonde la population afin de connaître son affiliation religieuse. Évolution des croyances religieuses depuis deux décennies.
La hausse actuelle du coût de la vie (alimentation, logement, transport, etc.) fait pression sur le budget des ménages, surtout chez les ménages moins bien nantis. Aperçu du faible revenu des personnes et des ménages les plus vulnérables en 2020, soit l’année fiscale où plusieurs ménages ont reçu divers transferts gouvernementaux, dont les prestations liées à la pandémie.
Le milieu culturel est l’un des premiers à avoir subi les contrecoups des mesures sanitaires liées à la pandémie. Selon les plus récentes données révélées par l’Observatoire de la culture et des communications (OCCQ) de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), les effets sur la fréquentation des lieux culturels se font toujours sentir.