Publications produites par l’Observatoire : articles, bulletins, portraits thématiques, et plus encore. Ces publications mettent en lumière les enjeux régionaux à partir de données fiables et accessibles.
À l’approche des Fêtes, les organismes de bienfaisance feront appel à la générosité de la population. En attendant de savoir si les cordons des bourses se délieront avec autant d’enthousiasme cette année compte tenu de la pandémie, voici un aperçu des tendances en philanthropie au Québec et en Abitibi-Témiscamingue.
Le contexte difficile de la pandémie de COVID-19 a provoqué des changements et des inégalités dans l’achalandage selon les types de lieux d’hébergement. Ce constat est rapporté par Tourisme Abitibi-Témiscamingue dans son bilan préliminaire de la saison estivale de 2020. Dans l’attente des données annualisées pour 2020, jetons un regard sur l’occupation des établissements hôteliers et des sites de camping au cours des dernières années.
De récents chiffres diffusés par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MÉES) indiquent un revirement de situation au chapitre de la diplomation et de l’abandon scolaire dans la région. Alors que les enjeux éducatifs en période de pandémie font les manchettes, retraçons l’évolution récente et passée du parcours scolaire de nos jeunes.
En Abitibi-Témiscamingue, l’industrie touristique représentait 12 % des établissements de la région et près de 7 400 emplois directs ou indirects en 2019. Les services offerts sont aussi variés que la restauration, les arts, les spectacles, les loisirs, l’hébergement, le transport et les services de voyage. La quasi-totalité (95 %) des établissements sont de petite taille (moins de 50 employés). Conjoncture estivale de cette industrie à la lumière de sondages réalisés depuis la fin de l’été 2020.
— Étienne Désy-Massé, diagnostiqué du syndrome d’Asperger
En Abitibi-Témiscamingue, plusieurs services ont été récemment mis sur place pour les personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme. La Maison-école des Artistes Autistes et le Monde, et le service de garde d’urgence des enfants autistes offert par la Société de l’autisme de l’Abitibi-Témiscamingue dans le contexte de la COVID-19 en sont des exemples. Cet article vise à donner des renseignements sur la population autiste de l’Abitibi-Témiscamingue.
— Mariella Collini
À la suite de la publication Survol des régions du Québec : à quoi s’attendre en 2020? produite par Desjardins en janvier 2020, deux autres publications1 ayant pour toile de fond la pandémie de la COVID-19 ont été diffusées récemment. Voici quelques constats qui méritent notre attention.
Le volume de crimes déclarés par la police en Abitibi-Témiscamingue a enregistré un recul pour une deuxième année consécutive en 2017, d’après un récent rapport publié par le ministère de la Sécurité publique. Bien que le taux de criminalité ait diminué de 3 % par rapport à 2016 en Abitibi-Témiscamingue, il demeure supérieur à la moyenne québécoise. Afin de soutenir les milieux dans leurs efforts pour améliorer la sécurité de la population, voici un bref portrait de la criminalité.
Depuis sa création, l’Observatoire de l’Abitibi-Témiscamingue (OAT) aura eu la chance de compter sur des personnes enthousiastes, dévouées, proactives, qui croyaient en sa mission et qui souhaitaient y contribuer, ce qui n’est certes pas étranger au succès qu’il connaît! Tour à tour, ces personnes auront contribué à forger son identité, à confirmer sa pertinence et à accroître sa contribution pour le développement de la région.
Saviez-vous que 17 mines ont été actives à un moment ou à un autre sur le territoire de l’Abitibi-Témiscamingue depuis 2005? Un récent rapport intitulé « Diagnostic sectoriel de l’industrie minière du Québec – Édition 2020 » documente l’état actuel du secteur minier et des pratiques de gestion des ressources humaines.
L’accès à Internet haute vitesse influence l’attractivité des territoires, la rétention de la population, la compétitivité des entreprises et la capacité d’innovation. La plus récente enquête NETendances 2019 du CEFRIO illustre à quel point le défi du numérique demeure important en Abitibi-Témiscamingue.